Pour construire la structure du labomorphe l’objectif est d’utiliser le plus possible des matériaux voués au rebus. L’association Respir, nouveau partenaire, a proposé de fournir du bois, des éléments tubulaires, de la quincaillerie et des textiles au fur et à mesure des besoins. Premier don glané sur place avec les membres de l’équipe de l’association.
Quelques images de l’exposition et des échanges avec le public organisés par la médiathèque Malakoff de Nexon. Une journée passée dans les murs à permis de réaliser quelques belles rencontres et des expériences toutes générations.
Ce dimanche, Michel de Véloma nous a accueilli sur le site partagé de l’association au cœur de Bressuire avec la charrette fin prête. Après quelques tours de piste et de petits réglages elle s’avère très souple, réactive et ne semble pas faire faux bon à mon vélo musculaire. Les sensations d’accélérations semblent présager d’une certaine puissance. Elle est susceptible de porter une charge pouvant aller jusqu’à 300kg. Ce que je vais pouvoir éprouver en particulier aux Ateliers de la Terre de Puycheny. Le chargement dans la voiture s’est fait sans heurt et nous avons repris le chemin de l’atelier.
Si le cœur vous en dit, les plans de leur création vont bientôt être disponibles en open source. L’engagement, la recherche d’autres formes de circulation de vie et la générosité de leur projet ne pouvait que trouver un écho immédiat dans celui du labomorphose. Il ne reste plus pour l’heure qu’à démarrer la création de la structure de l’atelier mobile pour l’adapter sur la base de la charrette. Le premier atelier d’activation est prévu fin janvier 2023. Tout un programme.
